Les sales gosses de Plebs sont de retour! Et ce début de saison 5 prend le large loin de Rome et désormais sans Stylax. Il est désormais « remplacé » par Jason qui brille par son intelligence des plus limitée. De quoi nous annoncer quelques bonnes poilades un peu grasses et bas de plafond!
Toujours propriétaires d’un bouge à Rome, Marcus, Grumio et Jason partent en expédition pour acheter du vin pour leurs clients. Sauf que bien sur, rien ne va se passer comme prévu! Et nos 3 citadins vont rentrer bredouilles dans capitale romaine! Loosers un jours, loosers toujours!
Ils vont donc reprendre leur petit train-train et tenter de subsister de leur bar. Mais c’est toujours aussi compliqué vu leur tendance à ne faire que des bourdes (et je suis poli dans ma formulation). Le plus balèze en la matière restant tout de même Grumio et ses idées fumeuses! Quoique le bougre va avoir quelques bonnes idées lors de cette saison 5. Une fois n’est pas coutume!
Ils vont donc avoir les « presque bonnes idées » et s’attirer des ennuis tout au long de la saison! La routine en somme pour nos trois loustics…
Mon avis
La série continue sur sa lancée. Plebs alterne situations ubuesques et anachronismes débiles (Marcus et ses glaçons). Rien de nouveau sous le soleil de Rome! Cela reste toujours le prétexte à se moquer de notre société et de ses travers via le prisme de la Rome antique (prisme légèrement tordu). Que cela soit les entrepreneurs peu scrupuleux avec Severus, l’ancien esclave de l’épisode 4. Ou des supporters de courses de chars façon hooligans dans l’épisode 5. Et bien d’autres encore (les restaurants chinois, les fouilles archéologiques, les enquêtes de polices, les agents immobiliers,…).
Alors oui, plebs ne fait pas toujours dans la finesse. Ça reste toujours des gags un peu lourd et gras. Mais je dis qu’une fois par an, ça repose les neurones! Tout cela n’a souvent ni queue ni tête, nos 3 héros sont de gros bêtas sans cervelle. Mais on arrive pas à leur en vouloir, même si parfois cela va très loin…
Inutile donc de décortiquer ou d’analyser la série en long en large et en travers. Plebs n’a pas d’autre prétention que de vous distraire. Si vous n’en attendez rien de plus, vous ne serez pas déçus!
A vous de voir si vous êtes prêts à jouer le jeu ou pas. Rappelez-vous, « When in Rome, do as Romans do » !
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