Après un sympathique film sorti en 2009, Les monstres de Dreamwork sont de retour sous forme d’une série animée de 26 épisodes dont la diffusion vient de débuter il y a quelques semaines. La série est diffusée sur la chaîne Nickelodeon aux USA. Pour autant, ici la tactique n’est pas de préparer la venue d’un nouveau film (comme dans le cas de Dragon riders of Berk qui va servir de « pont » entre les deux films) puisque malgré le succès de Monsters Vs Aliens, aucune suite n’est prévue chez Dreamwork.
‘équipe de monstres (La « team monster ») n’a pas changée, on retrouve Ginormica (Susan, la jeune femme qui est devenue géante), BOB (le truc gélatineux sans cervelle), Dr. Cockroach Ph.D (le cafard avec un petit coté savant fou) et The Missing Link (la bestiole bagarreuse). Leur mission reste la même : protéger la terre des méchants aliens qui ne pensent qu’à l’envahir! Et en option, protéger le président des états unis (qui en prend pour son grade) qui a le chic pour se mettre dans des situations toujours plus périlleuses avec les aliens en question!
Alors que tout est calme dans la zone « 50 quelque chose » (allusion à la célèbre zone 51), la base secrète des monstres, l’alerte résonne : un vaisseau alien viens de se poser! Toute l’équipe se rend sur place et arrive juste à temps pour voir Coverton, un alien filiforme, sortir du vaisseau. Mais on devine bien vite que sous ses airs faussement aimable, il n’est pas là pour faire la causette!
Trailer :
Les personnages :
Mon avis
n retrouve avec plaisir l’équipe du film toujours aussi mal assortie, mais qui fonctionne plutôt pas mal! Le ton est résolument à la caricature et à la farce, à l’image du président des états-unis, idiot, veule et colérique. Inutile donc de chercher de la subtilité ou de l’originalité! Les aliens sont forcément méchants et ne pensent qu’a annexer la terre. Mais pour cela, ils doivent se débarrasser des monstres qui leur font obstacle.
Ce qui est parfait pour la cible de public pour la chaîne Nickelodeon! Pour autant, cela reste tout à fait regardable en mode « repos du cerveau » et pour peu que le ton délibérément forcé ne rebute pas!
