Front Mission : Dog Life & Dog Style, tome 10

La série Front Mission : Dog Life & Dog Style touche à son terme avec ce dixième et dernier tome qui va nous offrir le dénouement des aventures du Berger, Kai Tsuneki. Il est toujours aux prises avec son frère Shin sur le toit du QG USN. Mais il n’est pas en position de force, son Wanzer finit par rendre l’âme. Il se retrouve donc face à Shin sans aucun armement. Heureusement, Tamira va parvenir à télécharger complètement le virus pour paralyser le réseau informatique USN, ce qui va laisser un peu de répit à tout le groupe. Même Shin semble atteint.


M

ais le virus semble avoir des effets secondaires imprévus! Alors que Queen Of Madness se met à tirer tout azimut, Shin semble recouvrer l’esprit et reconnaître Kai au moment ou celui-ci lui tire dessus. Quelques secondes plus tard, il est atteint de plein fouet par un missile, laissant Kai complétement abasourdi! Son équipe tentera de le secourir, mais ils seront tous abattus par l’USN. Tamira, placée dans la navette d’évacuation, sera la seule rescapée. Cela lui permettra de régler ses comptes par la suite avec Kenichi…

Mon Avis

L

‘épilogue de Front Mission est à la fois réussi et décevant! Décevant dans le sens ou après plusieurs tomes à suivre le Berger dans ses aventures dangereuses, on se disait que quoiqu’il arrive, il trouverait le moyen de s’en tirer comme il a toujours su le faire. Peut-être qu’il ne pourra pas sauver son frère, mais il s’en tirera. Évidement, le scénariste ne l’entend pas de cette oreille et nous offre une fin déchirante, mais somme toute réaliste! Quelle chance avaient les mercenaires de s’en tirer avec toutes les forces USN sur le dos? Aucune en toute rigueur. C’est donc ce chemin que nous fera emprunter Yasuo Otagaki, poussant même le vice à rendre sa lucidité  à Shin quelques secondes avant sa mort histoire de retourner le couteau dans la plaie! Sadique va! Mais on ne peut que reconnaitre le bien-fondé de ce dénouement au final!

La dernière page annonce un redémarrage de la guerre qui serait (en partie du moins) du à Kenichi, le reporter fou de guerre. Là encore, c’est cynique, mais réaliste si l’on considère la nature humaine. Par contre, c’est donner un poids quasi surhumain à Kenichi (et de manière plus globale aux médias), ce qui est plus discutable. Aussi discutable que son évasion par « invisibilité », car même si cela a déjà été employé, cela pouvait être vu comme une métaphore plus qu’une réalité. Là le doute ne peut plus planer. C’est un peu dérangeant vu le réalisme dont fait preuve la série tout au long des dix tomes qui la composent. Mais je recommande vivement la série (même à ceux qui ne connaissent pas l’univers « Front Mission »), il faut juste être bien accroché pour les scènes « réalistes »..

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Article écrit par Mat

Mat, créateur et admin du site GeeKroniques. Grand fan de séries et de culture Japonaise, je vous parle de mes coups de coeurs et parfois de mes coups de gueule! Retrouvez également mes tutos informatiques sur mon autre site.

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