Saint Seiya, the lost canvas Saison 1

Sans être un fan de Saint Seiya (Aka « les chevaliers du zodiaque » chez nous), comme beaucoup de trentenaires, j’ai été bercé par le « club Do » et donc par les aventures de Seiya et de ses compagnons. Néanmoins, je n’ai jamais été fan du chara design de Kuramada que je trouvais pas à mon gout, sans parler des bastons sans fin.. Il faut dire aussi que la série animée a bien vieilli (elle a plus de 20 ans au compteur). Donc pas de « revival » Saint seiya de mon coté, mais la curiosité de voir ce que cela pouvait donner dans un format court (26 OAV) et une réalisation contemporaine (épisodes réalisés entre 2010 et 2011).


D

‘autant que « The lost canvas » est un « remake » puisque s’il reprend la trame originale (le scénario de base est de Kuramada), le contexte est bien différent. L’action se déroule au 18ème siècle, et narre l’histoire de 3 orphelins, Alone, Tenma et Sasha. Mais ce ne sont pas des orphelins « ordinaires ». En effet, Sasha est l’incarnation d’Athéna, tandis que Alone est celle d’Hadès. Tenma, quand à lui, deviendra le chevalier Pégase de l’époque. Les trois amis seront séparés peu à peu. Sasha sera la première à partir, emmenée vers le sanctuaire pour jouer son rôle de réincarnation d’Athéna. Puis Alone sera possédé par Hadès et deviendra également son incarnation terrestre. Mais par la force des choses, leurs chemins se croiseront de nouveau assez souvent.

Alone, Sasha et Tenma

En effet, Hadès déclenche une guerre sainte pour détruire le sanctuaire. Pour cela, il va utiliser les spectres qui sont immortels. A peine tués par les chevaliers, euh pardon les saints, ils ressuscitent.. Le combat s’annonce déséquilibré dès le départ! D’ailleurs Tenma va perdre la vie au cours d’un affrontement. Mais son séjour au royaume d’Hadès lui permettra de revenir des morts et de rapporter de quoi annuler l’immortalité des spectres. Un point partout, balle au centre! Cela poussera Alone à intervenir en personne et à attaquer tout seul le sanctuaire! Même pas peur! Il dévoilera son plan (typique du méchant qui ne peut pas s’empêcher de faire le malin à tout bout de champ!) : lorsque la fresque qu’il peint (et qui remplace au fur et à mesure le ciel) sera complète (le « Lost Canvas » du titre), le monde sera détruit. Un peu capilotracté, mais ça le fait (et en plus c’est une référence au goût pour la peinture d’Alone).

Opening

Mon avis

P

assé la surprise du départ (le chara design très différent de l’original, mais bien plus fouillé, le fait d’entendre parler de « saint » et de « clothes »), la mayonnaise prends très vite. D’autant que le format court fait que les combats ne s’éternisent pas. Et que très rapidement, les « gold saints » interviennent et on a droit à des combats spectaculaires! Bein ouais, ils ont la classe les « chevaliers d’or » quand même. Mais leurs adversaires ne sont pas en reste et leur donneront du fil à retordre!

Le chara design, bien plus adulte est à mon sens nettement supérieur à celui d’origine, Athéna n’a plus ce coté niais (sûrement du en partie à la voix de la VF, j’avoue ne pas avoir vus d’épisodes en VO de saint seiya, mais vu le massacre fait par AB par example sur « City Hunter », je m’attends à tout). Et puis les saints n’ont pas ce coté efféminé de certains personnages de la série originale (et c’est un point qui m’a toujours dérangé).

Bref, j’ai passé un bon moment devant cette première saison et j’attaque la seconde dans la foulée!

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Article écrit par Mat

Mat, créateur et admin du site GeeKroniques. Grand fan de séries et de culture Japonaise, je vous parle de mes coups de coeurs et parfois de mes coups de gueule! Retrouvez également mes tutos informatiques sur mon autre site.

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