Cette année, je vais profiter de ma disponibilité de jeune célibataire pour couvrir la 12 ème édition du festival Kinotayo, le premier festival de films japonais contemporain. Animé par l’association étudiante Kinotayo de l’EISTI (Ecole Internationale des Sciences du Traitement de l’Information), le festival se déroule à la fois dans les salles parisiennes et en province.
Ça fait plusieurs fois que je veux profiter de ce festival, mais c’était compliqué pour moi. Cette année, fort d’une certaine disponibilité et d’une accréditation, je vais m’efforcer de voir un maximum de films (tout en sachant que je ne pourrais pas tout voir). Ce qui coïncide également avec mon envie de découvrir un peu plus le cinéma japonais auquel je me mets doucement et qui m’a offert de belles pépites cette année (Après la tempête et Notre petite soeur pour ceux chroniqués ici).
Le festival Kinotayo sélectionne pour la plus grande part des films produits depuis moins de 18 mois et inédits en France pour les projeter dans le cadre du festival et ainsi faire découvrir au public français la richesse du 7e art japonais. Il s’agit, pour la durée d’une projection, de voir le monde avec un regard japonais empreint d’une grande sensibilité et d’un sens de l’harmonie unique.
L’occasion de voir des films qui ne seront pas visibles au cinéma chez nous ou qui ne sont pas encore sortis. J’ai par exemple pu voir le beau film « La maison au toit rouge » il y a 3 ans dans le cadre du festival (à l’époque la salle de cinéma près de chez moi était partenaire du festival).
Quelques chiffres pour le cru 2017 du festival :
- 10 films en compétition,
- 6 films et courts-métrages hors compétition,
- 4 salles parisiennes (paris et banlieue),
- 8 salles en province,
- Près de 40 séances avec la présence des réalisateurs pour certaines d’entre-elles (séances du 2 au 21 novembre).
Pour ceux qui sont intéressés, vous pouvez consulter le site du festival qui donne l’intégralité des infos concernant les films et séances.
Si vous avez prévu de vous y rendre également, n’hésitez pas à me faire signe!